...pendant un moment de répit!
samedi 31 octobre 2009
samedi 5 septembre 2009
Tablier d’atelier à vendre!
vendredi 24 avril 2009
Lamouche et Lecoq
mardi 3 mars 2009
Un cheval pour Boudine
Je t’esquisse la crinière, tu me respires la peau. On s’est lorgné du coin de l’oeil, tes oreilles semblent dire quelque chose... elles me regardent à tour de rôle à une vitesse que je ne peux pas décoder. Je suis distraite par les obstacles de l’espace. As-tu deviné ma nervosité derrière ma candeur? Pour l’instant, je ne sais pas encore comment te plaire. Et si le grattement du fusain sur le papier pouvait te charmer l’ouïe? Je suis ta maîtresse pour l’instant présent! Quel angle te prendre?...Tu veux rire?- Tu bouges tout le temps!! Je mets ma main sur ton souffle chaud, cela te calme et moi cela me fait sourire. Bon tant mieux parce que j’aimerais bien attraper quelques lignes de tes muscles chevalins. Tes yeux de côtés sont animés d’une passion heureuse. J’estompe un peu... bientôt je te ferai une légère pression et t’auras le plaisir de me transporter sur le sable humide de ta maison. Je ferai un compromis et nous galoperons... de haut en bas... sachant très bien ce qui m’attends dans les prochaines heures; une sensation de t’avoir encore entre les jambes au point d’éprouver de la difficulté à marcher. Je t’aime, je serai à toi dans quelques jours!
mercredi 25 février 2009
L’artiste ne résiste plus
Contrôler quoi au juste? Complexe question que je tente d’éclaircir. Une chose est sûre, l’homme alpha ne peut être mis au pied du mur avec des «questions et réponses». Il doit rester libre. La valse des «j’te veux» et «j’te veux plus» n’existe pas. C’est moi, lui et nous trois!... l’île du «moi et mon art», une pour moi avec lui et une autre pour lui seul... avec son ordi. C’est un mite de penser que l’artiste doit se déchirer à chaque fois entre son art et sa relation d’amour. Je peux exister dans les deux sphères librement et heureuse. Nous sommes les enfants du siècle, mais pas celui du 19e de Georges Sand... «les flammes de la passion paraissent vaciller sous le souffle froid de l’absence...». J’ai dans mes veines du sang de ces histoires difficiles. Aujourd’hui je déprogramme ce lien en étant tout à fait désolée d’avoir laissé partir mon homme des bois... épuisé par mon insécurité. Je vais de l’avant avec une nouvelle vision et le bonheur d’en être enfin consciente.
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